
Hiver à Paris
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Critiques auditeurs
15 novembre 2022
4ème album studio de Dinos sorti le 4 novembre 2022. Pas forcément hypé par l'album en vue de la tracklist et au constat des dernières prestations de Dinos bien moins qualitatives qu'avant, mais au final je suis surpris. Premièrement parce que Dinos a su d'une certaine manière allier un côté mainstream et son univers de base, mais aussi par une réalisation plutôt réussie. Le gros point fort de cet album sont les instrumentales. Garder une telle cohérence sur 21 titres n'était pas évident, et force est de constater que c'est dans l'ensemble réussi, malgré un nombre de beatmakers assez conséquent. La mise en place de cet univers froid, d'où le logique nom d'album, où les flows très souvent adéquats, c'est une DA aboutie (contrairement à Stamina). A ce propos, l'album serait sorti un poil plus tard et ça aurait été mieux. Dans les featurings, c'est également plutôt réussi. D'Akhenaton à Hamza, la complémentarité est présente, je suis juste dans l'incompréhension totale sur le feat avec SCH. Bonne performance de Ninho, même s'il me semble que je ne retrouverais jamais celui des M.I.L.S, et surprise plutôt positive de Lous and The Yakuza. Le problème de l'album sont les paroles. DInos qui avait une certaine habilité l'a visiblement perdue, ne jouant plus pareillement avec les mots. Avec l'ambiance de l'album, des paroles recherchées et profondes semblaient être une obligation, mais il n'en est rien, les vers sont plutôt basiques même si certains sortent du lot. Mes coups de cœur perso sont Symiaci, AMG Performance, Chrome Hearts et L'univers de nous voit pas danser.09 novembre 2022
L'album le plus attendu de l'année pour ma part et Dinos m'a énormément surpris. Je ne m'attendais pas à un si grand écart de registre entre la rive gauche et la rive droite. La rive droite est très "rap" avec plusieurs artistes Mainstream qui n'ont rien à faire là et qui sortent complêtement Dinos de sa direction artistique (Sch, Ninho) . En effet cela peut être considéré comme une prise de risque ou un changement d'horizon pour casser le côté "triste" à l'album mais pour moi je pense que ce n'est qu'une technique marketing pour ramener des streams sur l'album. C'est ma seule déception de cet album qui aurait pu être parfait. Par contre, la fin de la rive droite et toute la rive gauche est superbement bien faite. J'ai particulièrement apprécié Akhenaton sur "L'univers ne nous voit pas danser" et Laylow qui nous fait 2 feats incroyable avec l'énorme "triste anniversaire" qui est l'un des meilleurs sons tristes fr. Mise à part les feats, Dinos c'est quand même énormément démarqué par son niveau de fou sur l'album avec des morceaux super biens écrits et rythmés comme "Simyaci". Dinos affiche un niveau irréprochable très souvent sur l'album avec des sont plus "love" comme triste. La direction artistique reste très bonne et en accord avec la discographie de Dinos avec les interludes rives gauche et rive droite qui nous plonge complètement dans l'album. Bref cet album est réussi et est dans mes albums préférés de l'année.
Track-list
1. Rive Droite
2. AMG Performance
3. Chrome Hearts Feat. Hamza //
4. Modus Vivendi
5. Portes Suicide Feat. Ninho //
6. Pichichi Anderson Feat. Laylow //
7. Ma Baby Feat. SCH //
8. Quatre Saisons
9. L’Univers Ne Nous Voit Pas Danser Feat. Akhenaton //
10. Simyaci
11. Rive Gauche
12. Rue de Sèvres
13. CRTL + V
14. Rouge Drama
15. Par Amour
16. Interlude (Hiver à Paris)
17. Solitaire 1895
18. Future Nostalgia
19. ADN
20. Aquarius
21. Triste Anniversaire Feat. Laylow //
Crédits
Producteurs
Twenty9 //
Focus Beatz //
Twinsmatic //
Flem //
Augustin Charnet //
Hard Level //
Mathilda //
November Ultra //
Nassir //
Lucozi //
Callsix //
Leaf //
Crayon //
Écrit par
Dinos //
Laylow //
Focus Beatz //
Twinsmatic //
Diam’s //
Akhenaton //
SCH //
Amine Farsi //
Ninho //
Hamza //
Leaf //
Mixage
Yan Memmi //
Lieu de mixage
Studio Boumbox //
Mastering
Éric Chevet //
Lieu de mastering
Masterdisk Europe //
Enregistrement
Lieu d'enregistrement
Studio SPKTAQLR //
Production
Capitol Music France //
SPKTAQLR //
Distribution
Universal Music Group //
Voix
Réalisation clip
Thomas Porchez //
Nathalie Canguilhem //
Production clip
Anna Citruk //
Adrien Chibatte //
Thomas Porchez //
Guillaume Rasquier //
Gary Farkas //
Régie
Viktor Glangetas //
Thibaut Rostan //
Clément Trontin //
Photographie
Hugo Carlier //
Caméras
Jacques Honvault //
Thomas Burgess //
Matias Sahnoune //
Vincent Tulasne //
Martin Grillet //
Doris Hutchinso //
Thomas Ambrosi Lopez //
Machiniste
Xavier Leblanc //
Xavier Schanen //
Motion Control
Jacques Honvault //
Electricien
Julien Mastoras //
Léa Cribier //
Quentin Play //
Crédit
Arthur Langlois //
Styliste
Kevin Lanoy //
Décors
Antoine Robin //
Till Duca //
Thomas Lelong //
Guillaume Ypreeuw //
Post-Production
Cindy Durand Paucsik //
Firm Studio //
Maxime Dabel //
Montage (Clip)
Maëlle Henri //
Quentin Mouquet //
Anaëlle Derouet //
Sabrina Mazni //
Ice Cream //
Pyrotechnique
Alicia Boinot //
Jonathan Lagache //
Anthony Lestremau //
Yann Masson //
Matthieu Plessis //
Effets spéciaux
Diego Giunta //
Étalonnage
Emiliano Serantoni //
Hadrian Kalmbach //
SansRefrain
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